L’ESAS, École supérieure d’assistants spécialisés, témoigne…
Maurice Cohen, Directeur de l’ESAS
« L’art et la manière d’écrire correctement les mots de notre langue », voilà une définition de l’orthographe qui répond aux exigences de Maurice Cohen, fondateur de l’ESAS, un institut de formation qu’il dirige depuis sa création. Soucieux d’aider ses étudiants à trouver un travail, il a récemment intégré à son programme la Certification Le Robert, opérée par Orthodidacte.
Pouvez-vous nous présenter votre organisme de formation en quelques mots ?
L’ESAS est une école supérieure d’assistants spécialisés que j’ai créée en 1984. Elle propose des formations en alternance, des solutions e-learning et des formations continues pour devenir secrétaire ou assistant des professions libérales. Secrétaire médical et assistant en cabinet d’avocat sont les principaux débouchés de nos formations. À ce jour, nous avons formé plus de 9 000 personnes en l’espace de 30 ans.
Pourquoi avez-vous choisi d’intégrer l’enseignement de l’orthographe à vos formations ?
Cela fait maintenant une dizaine d’années que j’ai fait la connaissance des créateurs d’Orthodidacte. Leur proposition m’a séduit immédiatement. L’importance de l’orthographe dans notre domaine n’est plus à prouver. J’ai donc décidé d’intégrer leur solution d’enseignement de l’orthographe, de la grammaire et de la syntaxe à notre programme, afin que nos candidats puissent mettre toutes les chances de leur côté. Au quotidien, l’orthographe est incontournable, mais c’est aussi un véritable atout lorsqu’il s’agit de trouver un emploi.
Comment en êtes-vous venu à intégrer la Certification Le Robert à votre programme ?
Il nous manquait « quelque chose » pour véritablement valider le niveau en orthographe de nos étudiants, en toute transparence. La fiabilité de la Certification Le Robert, opérée par Orthodidacte, a ouvert des perspectives intéressantes à ce sujet et nous permet aujourd’hui d’attester du niveau en orthographe de chacun de nos élèves. Associée à la méthode d’Orthodidacte, la Certification Le Robert aide les candidats de notre institut de formation à progresser en orthographe et à prouver qu’ils sont bons !
Quel rôle joue la Certification Le Robert dans le cursus de vos étudiants ?
Nos étudiants sont, avant tout, de futurs candidats ! Par conséquent, l’Esas est un acteur majeur qui intercède en leur faveur pour les aider à trouver un travail. En tant qu’organisme de formation en alternance, notre rôle essentiel est de sélectionner les candidats pour le compte des employeurs avec lesquels nous sommes en contact. La Certification Le Robert les aide à valoriser leurs compétences et à les faire connaître sur le marché du travail. C’est incontestable : un bon niveau en orthographe facilite leur embauche. Pour ce qui nous concerne, la Certification Le Robert est un chaînon qui contribue à la qualité globale de notre enseignement, un outil à part entière qui améliore les perspectives d’embauche de nos étudiants.
Pouvez-vous d’ores et déjà tirer un premier bilan de son utilisation ?
L’outil fonctionne bien et son usage est porteur. Nous l’avons mis en place cette année et, manifestement, les personnes qui l’ont utilisé en sont très satisfaites. Il s’agit principalement d’apprenants en alternance qui se destinent à travailler dans l’assistanat de professions libérales et, encore une fois, nous savons tous qu’une orthographe irréprochable est requise pour pouvoir travailler dans un cabinet d’avocats, par exemple.
Allan Picard, ancien étudiant de l’ESAS
Allan Picard, jeune diplômé de l’École supérieure d’assistants spécialisés, vient de terminer ses études. Après avoir suivi un entraînement en orthographe à l’aide de la plateforme Orthodidacte, il a passé la Certification Le Robert avec succès. Il nous confie ses premières impressions et nous explique comment il compte valoriser son résultat.
Quelle formation avez-vous suivie et quel est votre objectif professionnel ?
J’ai suivi une formation d’assistant juridique en alternance. J’ai donc été formé à l’aspect juridique de mon futur métier dans une école de droit au sein de laquelle j’ai pu me familiariser avec les procédures juridiques. Et tout ce qui concerne le secrétariat, je l’ai appris en parallèle à l’ESAS. J’aimerais travailler dans un cabinet d’avocat, comme celui qui m’a accueilli durant cette formation en alternance. Confronté à la réalité du terrain, j’y ai découvert l’aspect pratique du métier et cela m’a beaucoup plu.
Quelle est l’importance du français dans l’exercice de votre futur métier ?
Pour être un bon assistant juridique, il faut être organisé et rigoureux avant tout ! Chacun doit ainsi maîtriser le vocabulaire juridique et faire preuve d’une grande rigueur dans la rédaction des actes de procédure. Cette profession requiert un bon niveau en expression écrite, mais l’expression orale n’est pas négligeable pour autant. D’une manière générale, je dirais que la maîtrise du français est primordiale et qu’il faut avoir un vocabulaire solide pour exercer ce métier au quotidien. Et puis personne ne corrigera d’éventuelles fautes d’orthographe à ma place lorsque je devrai rédiger des courriers ou des actes à l’attention des clients du cabinet. Les avocats sont très exigeants sur ce point et je devrai être parfaitement autonome pour les assister dans leur mission.
Comment s’est déroulé votre entraînement à l’orthographe au sein de l’ESAS ?
J’ai eu accès à la plateforme Orthodidacte grâce à une inscription financée par le cabinet dans lequel je travaillais en alternance. J’ai donc suivi un entraînement très régulier d’une dizaine de mois. Durant près d’un quart d’heure chaque jour, je devais répondre à toutes sortes de questions liées à l’orthographe, mais énoncées de façon très ludique. J’ai suivi cet entraînement régulier étape par étape, jusqu’au jour où j’ai passé la Certification Le Robert.
Comment s’est déroulée l’épreuve ?
Dans les conditions d’un examen classique ! Rassemblés dans une salle de l’ESAS, nous étions chacun devant un ordinateur. Après contrôle de nos cartes d’identité, nous nous sommes connectés à la plateforme du Robert. Les questions posées balayaient tout ce que j’avais appris au cours des mois d’entraînement. Le test n’est pas monotone et se présente sous diverses formes : dictées, textes à trous, etc. À l’issue du test, mon score est apparu à l’écran immédiatement.
Quel score avez-vous obtenu et à quoi peut vous servir la Certification Le Robert ?
J’ai obtenu 840 points sur les 1 000 points que l’on peut obtenir au maximum. J’ai pu inscrire ce score sur mon curriculum vitæ pour prouver à mon futur employeur que j’ai un bon niveau en français et, plus particulièrement, en orthographe. Je viens de terminer mes études en ayant mis toutes les chances de mon côté pour trouver un emploi. La Certification Le Robert apporte une preuve tangible de mon niveau en orthographe. Le score que j’ai obtenu s’apparente un peu à celui du TOEIC pour l’anglais. Il atteste de mon niveau réel en français et permet aux recruteurs de se faire une idée objective de mes compétences dans ce domaine.
Yasmina BELKACEMI, ancienne étudiante de l’ESAS
Yasmina Belkacemi a quitté l’École supérieure d’assistants spécialisés (ESAS) en début d’année avec son diplôme de secrétaire juridique en poche. Dans le cadre de sa formation, elle a suivi un entraînement facultatif à l’orthographe grâce à la plateforme Orthodidacte. Elle nous confie ses impressions après avoir obtenu un bon score à la Certification Le Robert.
Comment s’est déroulée votre formation ?
Pour apprendre le métier de secrétaire juridique, tant d’un point de vue théorique que pratique, j’ai suivi un cursus d’un an en alternance à l’ESAS qui s’est achevé en février dernier. Mon emploi du temps était partagé entre les cours à l’école et le travail sur le terrain. C’est d’ailleurs l’ESAS qui a trouvé le cabinet d’avocat dans lequel je travaillais en alternance. Nous avions cours tous les vendredis et un mercredi sur deux. Le reste du temps était consacré au cabinet de Maitre Couturier-Leoni, avocate spécialisée en droit de la famille, qui m’a embauchée à l’issue de ma formation.
Quelles sont les qualités requises pour devenir une secrétaire juridique efficace ?
Pour travailler dans un cabinet d’avocat spécialisé dans le droit de la famille, il faut être bien organisé, à l’écoute et faire preuve de discrétion. D’une manière générale, je pense qu’il faut aussi être ponctuel et s’exprimer dans un français très correct, à l’écrit comme à l’oral. Toutes ces qualités sont essentielles pour exercer le métier de secrétaire juridique. À l’ESAS, j’ai suivi des cours d’organisation et de gestion de la vie professionnelle que j’ai directement pu mettre en pratique en travaillant au cabinet. Nous avions également des cours obligatoires de français et la possibilité de nous entraîner à l’orthographe grâce à la plateforme Orthodidacte.
Pouvez-vous nous en dire davantage sur les conditions de cet entraînement ?
L’école nous a donné accès à une plateforme extrêmement bien conçue, à laquelle nous pouvions nous connecter à tout moment grâce à un simple code. Depuis mon smartphone, j’ai enchaîné les cours proposés et les exercices sans me lasser. J’allais sur la plateforme dès que j’avais un moment, je n’ai vraiment pas vu le temps passer. Il m’a fallu seulement cinq jours pour terminer les 16 heures d’entraînement recommandées ! Pour accompagner notre progression, nous avons également eu quatre heures de cours en présentiel, suivies de tests blancs. Personnellement, je les ai vécus comme des examens blancs, puisque ces séances avaient pour objectif de nous préparer à passer la Certification Le Robert.
Comment s’est déroulé le véritable test ?
J’ai passé la Certification dans les mêmes conditions qu’un examen. Nous avons eu une séance de révisions le matin et le test que nous avons passé l’après-midi était dans le même esprit que ceux que nous avions validés en présentiel. J’ai obtenu un score de 779 points (sur 1 000), un bon résultat que j’ai pu mettre en valeur immédiatement sur mon CV.
Que vous a apporté la Certification Le Robert ?
Elle est venue confirmer mon niveau en orthographe. J’ai pris beaucoup de plaisir à m’entraîner et je pense que mon résultat en a bénéficié. Comme j’ai été embauchée directement à l’issue de ma formation, je n’ai pas pu vérifier l’importance de ce critère auprès des recruteurs. Mais l’orthographe est une gymnastique. J’utilise au quotidien les règles que j’ai apprises (ou redécouvertes) durant mon entraînement. Dans mon cas, la Certification Le Robert était facultative, mais si c’était à refaire, je la repasserai sans hésiter un instant !